Le rôle de l’Eco-coaching facilité par les chevaux dans notre épanouissement.

Bonjour,

Aujourd’hui je vais vous parler de l’Eco-coaching ou Développement personnel facilité par les chevaux,

Je vous expliquerai plus loin pourquoi je l’ai appelé : ECO-coaching?

Mais d’abord je vais vous parler des bénéfices, en quoi les chevaux peuvent vous faire du bien,  quels  résultats  vous pourrez obtenir grâce à cette approche et ceci en peu de temps.

Mais avant tout je vais vous poser quelques questions :

  • Est-ce qu’il y a parmi vous des personnes qui n’ont pas confiance en elles ?
  • Est-ce que vous avez peur de montrer vos émotions ?
  • Est-ce que vous ne savez pas ce que vous ressentez, ou vous n’arrivez pas à mettre des mots dessus ?
  • Est-ce que vous n’osez pas dire non ? Ou donner des limites et vous vous faites marcher dessus ?
  • Est-ce que vous voudriez réaliser quelque chose qui vous tient à cœur mais vous n’osez pas vous lancer par peur du jugement des autres ou de l’échec ?
  • Est-ce que vous avez subi un burnout, vous vous sentez déconnecté de vos sensations et de vos émotions ?
  • Vous êtes peut-être à un tournant de votre vie et vous avez besoin d’un petit coup de puce pour faire un choix ?

Je comprends tout ce que vous pouvez ressentir car je l’ai moi aussi vécu il y a quelques années

 

Regardez-moi, je  ne suis pas super woman, moi aussi j’avis peur de dire ce que je pensais, ou de montrer ce que je ressentais, j’avis peur d’être jugée, de ma pas être comprise etc.….et les chevaux m’ont acceptée telle que je suis, avec eux j’ai découvert mes potentiels, mes qualités, j’ai appris à me fier à mes ressentis, à ne plus les nier, j’ai aussi appris à donner mes limites à me faire respecter, à me positionner. Car les chevaux sont très sensibles à ce qui transpire de nous, ils ne sont pas influencés par ce que nous montrons , le masque, mais ce que nous sommes au fond de nous,….et ils nous obligent à être clairs avec nous-mêmes et avec les autres, ils nous aident à mettre en action ce que nous ressentons , et à changer vers une manière d’être plus conforme à qui nous sommes … »

 

C’est pour cela que  j’ai envie de vous parler de tout ce que ce travail en relation avec les chevaux et de tous les bénéfices qu’il peut vous apporter dans votre vie personnelle et /ou professionnelle.

Tout d’abord je vais vous faire expérimenter un petit exercice pour vous aider à être encore plus présent à vous-même et à ce que je vais vous dire.

Cet exercice s’appelle le body scan

Body scan

 

Feedback : comment cela s’est passé pour vous ?

Est-ce qu’il y a des personnes qui ont ressentis des émotions ?

Agréables ? Ou pas ?

 

Super,

 

Maintenant avant de continuer je vais vous parler un peu de moi.

Les chevaux n’ont pas toujours fait partie de ma vie. Par contre ils ont toujours été là lorsque j’avis des difficultés dans ma vie.

Lorsque j’avis 10 ans j’habitais à la compagne et mes parents avaient une maison juste en face d’une ferme avec des chevaux. J’y allais dès que je pouvais, pour vivre des moments où je me sentais vraiment acceptée telle que j’étais, sans jugement. Je n’avais pas besoin de parler, (moi qui étais très introvertie cela m’arrangeait bien), on se comprenais la jument Miquette et moi !

Ce n’est que 30 ans plus tard que j’ai renoué avec les chevaux grâce à ma fille qui voulait faire du poney. A ce moment là, comme par hasard j’étais en pleine séparation, je vivais un bouleversement profond dans ma vie, j’étais un peu perdue, submergée par les émotions contradictoires. Mais chaque fois que j’allais voir mes deux juments, il me suffisant de rester à leur contact une ou deux heures pur me sentir complétement régénérée !

Ce qui m’amène à vous parler des émotions, de leurs rôles dans notre bien-être, et mal-être parfois voir même souvent et comment les chevaux peuvent nous aider à mieux les comprendre et surtout à mieux les accepter pour devenir qui nous sommes vraiment au fond de nous.

 

Qu’est-ce qu’une émotion ?

 

Contrairement à ce que l’on croit les émotions ne sont pas séparées de notre mental !

 

Les émotions font partie de toute notre vie. Il y en a des agréables et d’autres moins, des carrément très désagréables…

On nous a souvent dit que les émotions sont différentes de notre intelligence, or des scientifiques ont vu par imagerie cérébrale qu’au niveau neurologique toutes les régions du cerveau qui sont  associées à des émotions  sont aussi associées à des aspects cognitifs, intellectuels. C.à.d. que les circuits neuronaux  qui  véhiculent les émotions sont liés aussi à ceux qui véhiculent  la cognition.

Cela veut dire que les émotions ne se manifestent jamais sans les autres aspects de notre expérience !

Quand j’était une enfant j’avais appris le contraire, et je pense que tous autant que nous sommes nos avons grandit dans une culture de la séparation de l’intellect et des émotions. D’ailleurs on nous disait : » sois raisonnable » sous entendu, « n’exprimes pas tes émotions » !

Pour certaines philosophie, comme le Bouddhisme, les émotions font partie du mental, et on  ne les qualifie que par rapport à ce ils nous donnent envie d’aider les autres, on les qualifie alors de positives.

Il y a celles  qui au contraire nous font du mal et nous sépare des autres, ce sont les états négatifs.

Le seul critère est alors le bien-être ou la souffrance, le mal-être.

Le bouddhisme fait aussi la distinction entre le bonheur et le plaisir.

Le plaisir est lié aux sens, à l’esthétique et à l’intellect. Il peut rapidement se transformer en souffrance. Si par exemple je contemple un beau paysage, c’est du plaisir, mais si  le froid s’installe, et cela peut devenir douloureux si je reste trop longtemps… mon plaisir est conditionné par l’extérieur.

Si je recherche mon plaisir, celui-ci peut aussi à l’encontre de celui d’autrui.

Alors que le bonheur, n’est pas directement lié aux circonstances extérieures , il est le résultat d’un état intérieur, c’est une manière d’être équilibrée qui est liée à notre compréhension de notre fonctionnement, de celui des émotions , et du mental.

 

Les émotions en tant que telles ne sont ni « bonnes «  ni « mauvaises » en soi. C’est la mauvaise compréhension de leur rôles et de leur fonctionnement qui crée un mal être ou un bien-être.

Si par exemple je déteste quelqu’un, je vais lui attribuer tous les défauts du monde, mais ce n’est pas cette personne qui est mauvaise en soi, je la perçois comme mauvaise, d’ailleurs si elle était vraiment mauvaise, personne ne l’aimera, or il y a forcément quelqu’un qui l’apprécie ! Même si ce n’est qu’une personne.

 

Il y a aussi une autre caractéristique des émotions :

Les émotions négatives, comme la colère, la haine, la peur etc. n’ont pas besoin d’être cultivée pour se développer ! Malheureusement ! Alors que les émotions positives doivent l’être, Oui, c’est plus difficile d’être dans la confiance, la compassion, l’amour, la compréhension, la bienveillance…et pourquoi ?

 

Parce que selon les spécialistes, les émotions comme la colère, la jalousie etc. ont été ou sont utiles pour la reproduction et la survie de l’espèce. C’est pourquoi, les émotions « dites » négatives semblent survenir « naturellement ».

Ceci dit, une colère saine peut aussi protéger son enfant! En fait une émotion est adéquate quand elle est adaptée à la situation et qu’elle n’est pas disproportionnée.

Se mettre en colère ou s’indigner devant une injustice est salutaire. Devenir fou de rage non !

Etre triste à la perte d’un proche est normal, sombrer dans la dépression non plus !

 

 

Alors que  toutes les émotions positives ne coulent pas toute de source comme on dit. La joie, l’amour, la compassion, la bienveillance, la confiance, la sérénité, le calme intérieur, l’admiration, l’enthousiasme qui fait soulever des montagnes,  ces émotions ont une grande puissance car elles nous aident à nous relever, à aller de l’avant, à ne pas se laisser décourager, c’est tout le courant de la psychologie positive, mais parfois nous devons les chercher au fond de nous car elles n’apparaissent pas facilement.

 

Pour les thérapies énergétiques, les émotions sont une énergie. Elles montent, puis diminue quand elles sont exprimées de manière adaptée.

Le problème survient quand on les retient ou quand on ne les reconnaît pas, ou quand on les nie.  L’énergie alors ne peut pas se libérer, elle reste, elle est enfouie au plus profond de nous, elle peut alors surgir à l’improviste quand on ne s’y attend plus, un mot de travers, et la cocotte explose !

 

Ou bien on commence à ressentir un mal être physique, mal au dos, insomnie, envie de pleurer tout le temps, mal au ventre, à la tête etc.… notre corps nous dit que quelque chose ne tourne pas rond.

Souvent on refoule les émotions « négatives » ou on les chasse.

Alors que ce sont des messagers, des signaux d’alarmes que nous ne voulons pas voir.

C’est notre corps qui nous avertit : «  ils se passe quelque chose en toi…écoutes-moi  » !

 

Si nous regardons les émotions ( les émotions négatives surtout !) comme des signaux d’alarme, ou des indicateurs de notre état interne, alors nous n’aurons plus peur d’elles mais nous pourront en faire des alliées. Et ne plus nous juger «  tu ne dois pas être nerveuse », « sois plus calme.. »Etc.…

La solution est d’aller interroger ces émotions, que veulent –elles nous dire ? Est-ce que cette nervosité est justifiée ? Peut-être qu’elle provient d’une situation qui n’est pas bonne.

Je me souviens d’une personne qui voulait me vendre un abonnement à un service que je n’avais pas demandé, je commençais vraiment à m’impatienter et malgré mes questions cette personne continuait à vouloir me persuader que j’avais vraiment besoin de ce service ! Bref, cette nervosité m’a permis  de stopper son argumentation et lui dire que je n’avais pas besoin de ce qu’elle voulait absolument me vendre. C’est un exemple banal mais qui aurait pu me coûter cher !

La communication n’est pas que verbale !

 

Vous avez certainement entendu dire qu’il y a 90 % de la communication qui est non verbal ? Mais qu’est-ce que cela signifie exactement ?

Cela veut dire que ce que nous disons n’est pas compris uniquement à travers les mots que nous utilisons mais surtout à travers tout ce qui est autour  qui peut se voir comme la posture, le ton de la voix Les gestes tels que croiser les bras. Il y a aussi tout  ce qui ne se voit pas comme  la respiration, l’énergie que nous dégageons, les émotions cachées, etc.

 

Bref nous ne contrôlons pas tout ce que nous disons loin de là !

Et parfois nous avons de la peine  à reconnaître et à exprimer ce que nous ressentons.

D’où un état de confusion interne qui nous envahit.

Et si en plus nous n’osons pas montrer ce que nous ressentons alors nous devenons la proie facile pour ceux qui n’ont pas de scrupule pur manipuler les autres.

Le corps parle

Notre corps parle autant si ce n’est plus que notre parole ! Et les chevaux sont des animaux très sensibles,  animaux non-prédateurs,  ils ont cette capacité à lire tout cela au delà de nos mots ce que nous essayons de transmettre parfois maladroitement ou que nous essayons au contraire de cacher ! Je dirai même qu’ils sont les champions de la lecture de ce que nous essayons de cacher. D’où l’intérêt d’être à l’écoute de leurs réactions et de les prendre comme des indicateurs de notre état intérieur et non comme des preuves qu’ils ne comprennent rien ou qu’ils sont moins intelligents que nous.

Contrairement au film » l’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » très beau film d’ailleurs, ici nous seront plutôt dans la posture du « cheval qui murmure à nos oreilles «

 

C’est grâce aux chevaux que j’ai pu comprendre des choses sur moi dont je n’étais même pas consciente ou que j’avais oublié !!!  Telle que mon incapacité à demander de l’aide par exemple. Dans un exercice  lors de mon apprentissage, le cheval me disait par son attitude ce que je ne voulais pas voir. : En refusant de collaborer avec moi, il m’a aidée à devenir plus consciente de mes ressentis et de mes émotions et à oser demander de l’aide sans me sentir « diminuée » pour autant !!!

 

Malheureusement nous n’apprenons pas à décoder ce qui se passe en nous. Au contraire notre éducation nous fait comprendre très vite qu’il y a des émotions acceptables et d’autres pas ! Si  nous adoptons une attitude convenable, alors nous serons acceptés reconnus. Un  enfant apprend très vite que pour être aimé, reconnu ou accepté, il a intérêt à adopter l’attitude qui convient. Par contre devenu adulte si nous continuons à le faire même lorsque la situation ne s’y prête plus il risque d’y avoir plus de problèmes, comme celui de devenir de moins en moins authentique, ou même de se perdre dans nos propres ressentis, ou de mettre une émotion à la place d’une autre ou pire de tomber malade.

Nous les femmes nous somme plus enclines à mettre de la tristesse à la place de la colère à tel point que nous ne reconnaissons ,même plus pourquoi nous nous sentons triste !  Et pourtant si nous cherchons derrière la tristesse nous trouverons souvent une colère retenue. Les hommes, eux,  ont plus de mal à exprimer la peur, ou la tristesse, ils mettront la colère à la place, comme on leur a appris !

Simplement parce vous aurez appris en tant qu’enfant qu’il est bon de montrer soit l’une ou l’autre de ces émotions, vous ne saurez même plus ce que vous ressentez réellement ! Et si  vous continuez à mettre un masque pour cacher vos émotions, vous risquez de ne plus savoir distinguer l’une ou l’autre. Le risque est non seulement d’avoir des doutes sur ce  que vous ressentez, mais vous risquez aussi de confondre vos ressentis avec les émotions des autres,  et  de devenir la cible de personnes qui vont en profiter, vous devenez une proie que les autres peuvent séduire avec des belles paroles. Vous n’arriverez plus à vous fier à votre intuition, et vous ne saurez plus  si une personne ou une situation est positive pour vous ou non. Vous perdrez  votre discernement.

C’est le début de  la dépendance !! C’est exactement ce que j’ai  vécu : j’ai perdu le contact avec mes émotions et je me demandais même si je ne devenais pas folle ! Si ce n’était pas les autres qui avaient raison.

 

C’est facile à dire, mais concrètement comment faire pour discerner ce qui est bon ou pas pour nous ?

Il faut savoir que notre cerveau n’est pas le seul aux commandes !

 

Bien que cela semble étrange, notre cerveau n’est pas le seul centre de notre intelligence ! Eh oui nous notre intelligence se situe à différents endroits de notre corps! Nous en avons un dans la tête mais aussi  un dans le cœur et encore un autre juste en dessous, dans le ventre !

 

Commençons par le plus connu :

 

Celui de notre tête, (cortex) c’est celui que nous connaissons tous : il  nous aide à nous concentrer,  à anticiper le futur, à mettre de l’ordre grâce au côté logique, il classe, il ordonne, il met des priorités il organise. Il est très utile quand il faut  mettre en place un projet par exemple ou effectuer un voyage. Si vous décidez de partir en voyage, c’est grâce à lui que vous mettrez en place des étapes, c’est la carte avec laquelle vous vous dirigerez. C’est aussi celui qui tempère les émotions non fondées par exemple s’il voit qu’il n’y a pas de danger, il freinera les réactions physiologiques dues à la peur.

 

Celui au niveau du cœur est directement lié au cerveau limbique, celui des émotions. Il aime où il n’aime pas. C’est lui qui vous donnera l’envie de faire ce voyage qui vous tient à cœur ! C’est lui aussi que vous dira ce qui est bon pour vous ou pas !

Si vous ne faites pas appel à lui pour prendre vos décisions, vous risquez de faire un choix qui fera plus appel à la raison, le risque est que vous vous rendiez compte pus tard que ce n’était pas le bon choix pour vous.

 

Les souvenirs sont directement liés aux émotions.

En effet les souvenirs les plus prégnants sont ceux qui sont les plus marqués émotionnellement.

 

Il a aussi été prouvé que certaine personne qui on subi une transplantation cardiaque ont des souvenirs qui ne leur appartiennent pas mais qui appartenaient à la personne donneuse !

« Le cœur nous relie à une intelligence supérieure à travers un domaine intuitif où l’âme et l’humain fusionnent. Ce domaine intuitif est beaucoup plus grand que ce que la capacité perceptrice de la race humaine n’a encore été capable de saisir. Nous pouvons toutefois développer cette capacité perceptrice en apprenant à faire ce que les sages et les philosophes nous demandent depuis des siècles écouter et suivre la sagesse du cœur « .

La solution HeartMath Doc Childre et Howard Martin

 

 

Enfin celui qui se situe en dessous du codeur au niveau du ventre   moins connu et cependant très actif :

C’est celui qui se manifeste par  des gargouillis ou des crampes dans le ventre lorsque vous pressentez qu’une situation ne vous convient pas.

« Le cerveau entérique serait aussi l’un des fournisseurs de données majeurs pour notre inconscient. »

 

D’après des recherches en biologie et en neurophysiologie, les 3 cerveaux sont reliés entre eux et se transmettent des informations, mais ce n’est pas toujours le cas:

En réalité les cerveaux interagissent entre eux uniquement quand c’est nécessaire, parfois le « cerveau des intestins » agit et réagit d’une manière autonome, comme s’il « pensait » par  lui-même.

 

La théorie selon laquelle le cerveau crânien serait le seul maître à bord est révolue. Chaque cerveau a sa propre intelligence.

 

Notre relation à notre entourage et notre capacité à discerner est

Lié au bon fonctionnement de ces centres d’intelligence et de réceptions d’informations :

Telles que nos ressentis et nos émotions.

Oui  nos émotions touchent directement vos 3 cerveaux.

Si vous n’en tenez pas compte ou même si vous les écartez, elles restent, elles ne partiront pas d’elles mêmes, vous avez tout intérêt à les prendre en considération  si vous ne voulez pas qu’elles dirigent votre vie !

Les personnes qui ont perdu  cette capacité de ressentir leurs émotions à cause d’un accident cérébral ou d’un traumatisme, n’arrivent plus à prendre des décisions qui leur sont bénéfiques. (Recherches faite par le Professeur Damasio, neurophysiologiste USA).

Il est donc primordial pour vous de prendre en compte les informations que vos émotions vous envoient.

 

BENEFICES

Le rôle de l’Eco-coaching facilité par les chevaux :

Pourquoi je l’appelle Eco- coaching ?

 

ECO : Eco parce que pour être bien dans le monde, dans notre environnement il faut prendre soin de nous. Comme on prend soin e la terre de l’eau, de l’air… cela veut dire d’abord apprendre à ce connaître mieux pour éviter de retomber dans  les schémas habituels qui nous font du mal et qui font du mal aux autres et à notre environnement. Lorsqu’on ne contrôle pas sa colère on risque de s’en prendre aux autres, en rejetant la faute sur eux, et consommer plus pour pallier à un manque d’amour par exemple, ou  simplement ne pas faire attention à ce que l’on consomme en se disant, » de toute façon ça ne changera rien. » Bref à être irresponsable.

Le coaching facilité par les chevaux nous apprend à prendre soin de soi, à se respecter pour mieux respecter l’autre et son environnement.

Voilà pourquoi je l’ai appelé Eco-coaching.

 

COACHING facilité par les chevaux : car ce sont les chevaux qui facilitent ce passage d’un état égocentré à un état de bienveillance vers soi et les autres. C’est un accompagnement vers votre propre épanouissement. C’est le cheval qui vous guide et le coach, (moi) qui verbalise ce qui se passe. Mais le gros du travail c’est le cheval qui le fait grâce à se facultés de détecter ce qui est caché, inconscient ou nié.

 

ECO-COACHING : Car nous cheminons vers une plus grande conscience de qui nous sommes et de notre environnement AVEC l’aide du cheval.

Car quand nous agissons en relation avec  le cheval, notre perception du monde environnant  change :

  • Nous devenons plus responsable de ce qui se passe car nous ne rejetons pas la faute sur l’autre.
  • Nous sommes aussi dans le partage avec lui. Le cheval détecte ce qui est encore inconscient ou caché chez nous, il l’accueille sans juger, il nous « porte » avec tout ce que nous sommes sans chercher à nous changer et en échange nous luisommes reconnaissant, c’est de l’ordre de la guérison. Cela se fait à tout les niveaux : physique, (les douleurs disparaissent), émotionnel (l’émotion comprise se dissout) mental (notre mental pense différemment) et énergétique (si nous sommes fatigué avant de venir, celle –ci disparaît après une séance, l’énergie coule de nouveau librement)

 

 Prendre exemple sur les chevaux :

 

Les émotions comme des informations.

Les chevaux prennent les émotions comme des informations. Ils les ressentent directement dans leur corps.

Observez les chevaux, ils leur arrivent aussi de se mettre en colère, et de les montrer surtout lorsqu’il s’agit de la nourriture, mais une fois qu’ils ont exprimé leur ressentis et qu’ils ont donné leur limite, ils retournent brouter et parfois même l’un à côté de l’autre ! Ils ne sont pas rancuniers, ils ne vont pas garder cette émotion en eux pour  la réutiliser à la première occasion  du style : «  tu verras toi, tu ne perds rien pour attendre !!! »

 

Les chevaux utilisent leurs 3 cerveaux, lorsque vous êtes face à un cheval, il est inutile de faire semblant de ne pas avoir peur par exemple, il le sent. En réalité ce qui le dérange, ce n’est pas votre peur, comme on l’entend souvent, mais le fait qu’il y a un décalage entre votre ressenti et ce que vous montrez. Le cheval nous aide donc à devenir plus cohérent, aligné par rapport à ce qui se passe en nous, il nous aide à aller chercher des informations dans notre corps.

 

A l’inverse nous nous fions trop au cerveau logique, d’où les perturbations que nous pouvons ressentir lorsque qu’une personne en face de nous est en train de nous manipuler par exemple, alors que  si nous écoutions notre intestin et notre cœur, notre réaction immédiate serait  la fuite ou la protection au lieu du raisonnement !!! («Il n’est pas si mal que ça, en plus il parle bien… »)

Si nous nous laissons berner par les paroles des autres nous risquons de tomber dans le panneau malgré les signaux que nous a envoyés notre cœur (accélération cardiaque etc..) et nos intestins qui sont noués !!!

 

 

Comment faire concrètement ?

Souvenez-vous du petit exercice que vous avez fait au début de la conférence : si par exemple vous sentez  intuitivement dans votre  ventre ou dans votre cœur qu’une personne est toxique ou du moins néfaste pour vous, écoutez votre ressentis  même si vous ne comprenez pas tout de suite ce qui se passe mais prenez le en compte et attendez, ne prenez pas de décision tout de suite.

Si vous êtes experts, vous pouvez aller chercher l’information derrière la sensation physique, sinon restez simplement à l’écoute de votre sensation.

Observez ce qui se passe : peut-être que cette personne s’éloignera et ne vous contactera plus, car elle aura senti que vous n’étiez pas tout à fait malléable comme elle l’aurai souhaité ?

Ou peut-être que votre sensation va s’amplifier ? Auquel cas ce sera un signe pour vous de vous méfier encore plus !

Peu importe les signaux que votre corps vous envoie, le corps ne réagit pas de manière « logique » comme on l’entend  il a sa propre intelligence. C’est un apprentissage, au début vous « bafouillerez », mais avec le temps vous établirez une vraie relation de connivence avec votre corps. Le jeu en vaut la chandelle !

Une des clés pour sortir du brouillard, est d’apprendre  à  reconnaître et exprimer vos émotions. Vous obtiendrez alors une grande intelligence émotionnelle et vous serez à l’aise avec vos émotions et celles des autres.

 

Pour retrouver votre liberté

Mettez votre cerveau pensant au service de vos 3 autres cerveaux.

En vous mettant à l’écoute de ce qui se passe à l’intérieur de vous, au niveau des ressentis physiques, des ressentis émotionnels et des ressentis disons d’un autre niveau : celui des intuitions.

Les chevaux ont cette faculté parce qu’ils sont des animaux non prédateurs,  qu’ils ont  un système d’alarme très élaboré  afin de pouvoir se mettre à l’abri ou fuir si nécessaire.

Pas nécessaire de vous mettre à quatre pattes !

Il vous suffit d’apprendre et de mettre en pratique quelques techniques d’écoute de votre corps.

C’est ce qui avec le temps vous aidera à devenir plus autonome, à vous fier à vos impressions et non celles que votre entourage vous dictent !

 

L’aide des chevaux pour devenir plus consciente

C’est ce que les chevaux m’ont procuré : ils  m’ont aidée à comprendre que ce que je ressentais étais juste. Ils m’ont aidés par là à avoir plus confiance en moi, à m’affirmer, à me positionner et à devenir qui je suis aujourd’hui ! A faire la différence entre les belles promesses les paroles et les actes. A ne plus confondre l’apparence avec l’intention.

Et surtout de voir que d’exprimer mes émotions n’est  pas si dangereux que ça !!

 

Le bien-être que procure la relation avec les chevaux :

 

Mis à part la douceur de leur poil , leur ronron ou leur marque d’affection, qu’est ce qui fait que notre moral va mieux, que nos douleurs parfois diminuent ou disparaissent , que nous avons moins peur?

Le dernier livre de  Linda Kohanov « the Power of the Herd » (« Ensemble et Puissants comme les chevaux »), explique pourquoi  ce qui ne relevait auparavant que de l’invisible et de l’intuition, peut, aujourd’hui  être prouvé scientifiquement.

Cet article est  donc inspiré directement d’une partie du contenu de son dernier livre en ce qui concerne le lien homme /animal :

OCYTOCINE :

Il y a un facteur qui agit en profondeur chez nous les humains et, qui, ce qui est encore plus surprenant, à un effet sur le comportement des animaux.

Ce facteur c’est l’ocytocine. D’après des études faites par l’institut de Cytologie et Génétique à Novossibirsk sur l’effet du lien entre les humains et les animaux, en l’occurrence des renards apprivoisés, il a été prouvé que l’hormone du plaisir qui se libère lors de l’allaitement,  l’ocytocine, se déploie aussi d’une manière significative chez les humains lorsqu’ils caressent un animal. Cette hormone crée de ce fait un changement de conscience alliant le courage, à une meilleure capacité à se concentrer, à un sentiment de calme et de confiance ainsi qu’à un intense sentiment de bien-être.

 

En effet l’ocytocine inspire et encourage la connexion entre les espèces. Elle réduit en outre la pression sanguine due à la réaction de fuite ou d’attaque, et active  la disposition  physique, mentale et émotionnelle dont a besoin la mère lorsqu’elle allaite. Cette hormone renforce aussi la reconnaissance sociale et le comportement amical à travers une libération de la dopamine, hormone qui donne un sentiment de joie  identique à l’effet de la cocaïne. L’ocytocine est une recommandation pour créer un sentiment important de relation mutuelle.

Il est aussi démontré que lorsque les hommes et les femmes interagissent avec leurs chiens, en leur parlant et en les caressant le niveau en ocytocine dans leur  sang double presque ! Et celui de leur chien aussi !  Avec le temps cette montée en hormone produit une baisse de la pression du sang et du cortisol, l’hormone du stress, ainsi qu’une augmentation en beta endorphine et en dopamine.*(1)

En somme, lorsque l’ocytocine est en marche, c’est magique : celui qui prend soin bénéficie autant, si ce n’est plus des bienfaits de la dopamine que celui qui reçoit.

Cette nouvelle connaissance  donne une interprétation à ce que je qualifiais de « magique », spécialement lorsqu’une personne qui lors d’un de mes stages arrivait avec la peur des chevaux et repartait avec  un sentiment de bien-être et une envie de rester tout près d’eux, parfois même de monter sur leur dos!!

 

Les deux sexes produisent cette hormone, mais les femmes sont privilégiées, car les œstrogènes accroissent la puissance de l’ocytocine, alors que la testostérone, que les hommes produisent à un niveau élevé lors d’un stress, semblent réduire les effets de l’ocytocine.

 

Dans le domaine des connexions chimiques, les femmes ont un grand avantage !!

Mais rassurez-vous si les hommes s’occupent et prennent soin des animaux ils en bénéficient aussi !

Il suffit parfois d’être seulement quelques minutes au contact d’un cheval, pour se sentir mieux. Pas besoin de faire quelque chose de particulier, ou si vous faites quelque chose comme le brosser ou de prendre soin de lui, si vous le faites de manière consciente sans penser à autre chose qu’à ce que vous faites, les bénéfices seront plus importants !

 La présence

Car au delà de tous les exercices que vous pourrez faire le plus important est la présence. La présence à vous d’abord, à vos ressentis, et à l’autre au cheval, à l’environnement, à ce qui se passe autour. La présence est la clé. D’ailleurs c’est ce que nous enseignent le yoga, la méditation : il n’y a pas de changement sans présence.

Les chinois appellent cela le wu Wei, (être présent sans attente particulière, mais être près à agir s’il le faut).

C’EST cette présence qui nous ouvre les protes vers la conscience, l’envie d’aider les autres, de faire du bien à notre environnement. Et cette présence est induite aussi par l’Eco-coaching facilité par les chevaux.

 

POUR QUI ?

Cette approche est destinée à toutes les personnes à partir de 8 ans jusqu’à 77 ans  et plus !

  • Mais surtout pour toutes les personnes qui souhaitent améliorer et gérer leurs relations
  • Comprendre leurs émotions
  • Devenir plus autonomes
  • Retrouver la confiance en elle
  • Oser dire ce qu’elles ressentent
  • S’affranchir de leurs peurs
  • Réaliser un rêve quel qu’il soit
  • Sortir d’un burnout qui les a morcelée
  • Avoir le courage de changer de cap
  • Devenir qui elles sont vraiment

Vous aussi pouvez y arriver.

J’étais il y quelques années encore une femme dépendante affectivement. Je souffrais de ne pas savoir qui j’étais, quelle valeur j’avais et je ne savais pas comment l’exprimer non plus. J’avais très peur de perdre son amour. Mais ce dont j’avais le plus peur c’était de découvrir qui j’étais !!!

Heureusement j’avais la chance de pouvoir aller m’occuper des chevaux de la ferme d’en face de chez moi, lorsque j’étais enfant. Ceux-ci m’ont vraiment aidée à prendre contact avec mes ressentis. C’est une jument de trait du nom de Miquette, qui m’a montré le chemin. Je ne comprenais pas ce qui se passait mais ce que je vivais est resté gravé dans ma mémoire : un bien-être, une paix, un calme qui m’était étranger jusqu’alors. Et que j’ai retrouvé quelques 40 années plus tard lorsque j’ai  lu un livre : le « Tao du Cheval »  de Linda Kohanov,

Ce livre m’a bouleversé, j’ai compris que ce que j’avais vécu avec Miquette n’était pas de l’ordre de l’épisodique mais de quelque chose de  beaucoup plus profond : des portes s’ouvraient vers un rêve jusqu’ici inaccessible pour moi : oser devenir qui je suis et, pourvoir réaliser un rêve d’enfant : travailler avec les chevaux.  J’ai non seulement pu m’épanouir au niveau personnel mais aussi au niveau professionnel. Cela m’a permis de me responsabiliser, de sortir de ce rôle de victime qui m’empêchait de me réaliser.

Aujourd’hui j’accompagne des personnes  sur le chemin vers elles-mêmes. Je dois avouer qu’à chaque fois je suis étonnée de la précision de prise de conscience que les personnes font grâce aux chevaux.

Alors si moi qui n’avais pas de prédisposition particulière pour me lancer dans une carrière équine, ai pu réaliser ce rêve, il n’y a aucune raion pur que vous n’y arriviez pas non plus !

 

Voici un témoignage :

« Le stage de développement personnel que j’ai effectué avec Monique et ses chevaux cet été était formidable.

Les exercices réalisés ensemble m’ont permis de comprendre que j’avais beaucoup de difficultés à poser mes limites, à déterminer ce que je n’acceptais pas.

J’ai également découvert que je n’étais concentrée que sur l’objectif en oubliant que le bonheur c’est le chemin et non la destination.

J’ai réalisé que j’avais dépensé une énergie folle à construire des tas de jolies maisons mais en oubliant à chaque fois les fondations, c’est-à-dire écouter mon cœur, identifier ce qui me fait vibrer, révéler mes rêves enfouis. Ce qui est génial avec un cheval c’est que l’on ne peut pas tricher, il est notre miroir.

Les regards de Qrunch (mon Chouchou), de La Belle, m’ont permis d’aller à la rencontre de moi-même et de développer mon estime de moi et ma confiance en moi.

Concrètement, je me suis remise à l’équitation (un des mes souhaits les plus chers), je suis en recherche d’un professeur de piano (un autre rêve), je prends davantage de temps pour voir les gens que j’aime et j’aborde désormais les choses avec beaucoup plus de simplicité. »

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Le séjour qu’Isabelle a effectué chez moi , lui a  permis de comprendre que sa dépendance  était surtout liée à son refus de respecter ses besoins, toutes les tentatives qu’elle a faite  en essayant de mettre en place un plan d’action ne lui avaient  pas permis d’aller aussi loin.

Aujourd’hui non seulement elle a envie de s’occuper d’elle, de faire des choses qui lui plaisent, de refuser ce qui ne lui plait pas mais elles arrive mieux à exprimer ses besoins et à donner ses limites. Et, cerise sur la gâteau : à réaliser des rêves !

 

La raison travaille différemment lorsque nous ressentons ce que nous pensons.

Comme Isabelle, il ne s’agit pas de vous défaire de votre raison, mais de la mettre au service de votre ressentis.

Si vous arrivez à développer cette faculté de marier les deux : la raison et les ressentis, vous participerez a développement de votre intelligence émotionnelle.

Les chevaux de part leur faculté à ressentir ce que nous cachons, sont très efficaces pour nous aider à atteindre une nouvelle manière de connaître, d’apprendre à travers le ressenti, l’intuition, la relation et la sagesse du corps en accord avec la concentration, la volonté et la capacité à résoudre des problèmes.

Ce sont des maîtres pour vous aider à mettre en commun votre côté yin (le côté de la sensibilité, du partage, de l’empathie, de la collaboration, de l’intuition) et votre côté yang (celui de la volonté, de l’action, des objectifs, de la décision). Ce dont les personnes dépendantes manquent !

 

On ne peut pas se débarrasser d’une dépendance qu’elle soit affective, ou d’une dépendance à une substance comme l’alcool, la cigarette, uniquement avec la volonté.

La dépendance affective est  très ancrée dans notre cerveau limbique celui des émotions, et surtout  des émotions refoulées, nous nous somme coupé de nos ressentis et nous avons mis en place des stratégies de compensation.

Il est plus facile pour une personne dépendante de ne pas ressentir son mal-être et de faire semblant que d’aller voir ce qui ne va pas même si cela doit provoquer un mal –être continu !

 

Si les chevaux ne m’avaient pas incitée à me reconnecter à mes ressentis, je pense que je  serait devenue dépressive, peut-être que je n’aurai pas arrêté de fumer et peut-être j’aurai sombré aussi dans une autre addiction comme l’alcool ?

Les émotions que l’on cache sont souvent révélatrices. Elles révèlent un besoin non satisfait : celui de notre être profond, que ce soit un besoin de sécurité, de croissance, de liberté , d’épanouissement, de création, d’identité, peu importe ce sont des signaux que notre corps nous envoie pour nous alerter que quelque chose ne va pas.

Et la dépression est un signal d’alarme pour nous dire que nous sommes à côté de notre vie, qu’il est temps de réagir, de changer.

 

Alors n’attendez pas que la dépression pointe son nez, reprenez contact avec vos émotions et si vous avez la possibilité. Aller rendre visite aux chevaux, ils vous feront découvrir un monde où les ressentis sont les bienvenus tels que dans ce poème :

 

Poème de Rumi :

 

LA MAISON D’HOTE

Cet être humain est une maison d’hôte

Chaque matin une nouvelle arrivée.

Une joie,  une dépression, une mesquinerie,

Où une prise de conscience momentanée.

Comme un visiteur inattendu,

Accueilles les tous.

Mêmes s’ils sont une foule de douleurs,

Qui balayent violemment ta maison,

La vident de ses meubles,

Traites honorablement

Pourtant chacun de  tes hôtes,

Il se pourrait  qu’ils fassent placent pour de nouvelles joies.

Les  pensées sombres, la honte, la méchanceté,

Va à leur rencontre, sur la pas de la porte, en riant,

Et invite-les à entrer.

Sois reconnaissant de celui qui vient,

Parce que chacun a été envoyé

Comme guide venu d’ailleurs.

 

 

Si vous voulez me rejoindre , j’organise en Bourgogne, à la Chapelle Naude des ateliers pour des adultes, des enfants à partir de 8 ans, des ados, des entreprises,  en groupe, ou en individuel.

les séances sont de 1H30 à 2H, les ateliers sur une journée ou demi-journée, et les  stages sur  2j ours avec un thème.

J’organise qussi des séjours de ressourcement sur plusieurs jours en résidentiels.

Prenez contact avec moi je vous donnerai toutes les informations que vous souhaitez.

Monique Miserez coach et formatrice « EponaQuest Approved Instructor »

06 75 22 31 01

079 90 78 403

m.miserez@orange.fr

A bientôt

N’oubliez pas de me laisser vos commentaires et vos questions ci.- dessous…

 



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